Tout être humain suit des traces, laisse des traces et, quelquefois, perd la trace. Car les traces sont fragiles, pas même des chemins, encore moins des routes.
Ce colloque nous offre l’occasion de réfléchir sur les traces laissées en Algérie et celles, en construction, par ceux ne l’ayant pas connue.
Ceux-ci sont enfants d’Européens, de Juifs et de Harkis. Ils sont romancier, bédéiste, poète, scénariste, documentaliste, réalisateur.
Ils nous diront quel sens à cette plongée dans leur histoire.Quatre conférenciers : historiens (Anne Dulphy, Jean-Jacques Jordi), psychosociologue (Florence Giust-Desprairies) et psychologue (Hubert Ripoll) nous aideront à comprendre la signification des traces que les générations suivent et prolongent.